Tchikidan clotûre les Vocales de Thônes
Par Guillaume, dimanche 30 mai 2010 à 16:07 :: Concerts :: #21 :: rss
Quelle belle oeuvre pour refermer les Vocales de Thônes portée par Martial Renard depuis 10 ans.
Quelle belle idée que d'amener la musique et au delà une communion fraternelle en suivant les voix dans une commune, capitale mondiale du Reblochon dominée par les sommets de la Tournette et du Lachat...
Tchikidan est le dernier bébé né du régional de l'étape, Etienne Perruchon, le fondu savoyard des rythmes et des sons qui propose une oeuvre qui a vocation à l'universel. Comme pour Dogora, Tchikidan se chante dans cette langue imaginaire et fédératrice dont les enfants s'emparent avec une facilité déconcertante. Dans la légende Dogorienne, les enfants ont perdu ou oublié leur langue originelle, il ne se souviennent plus que des sonorités des chansons apprises autrefois et transmises par leurs aînés. Et ces chants, c'est la vie, avec ses joies, ses tristesses, ses désespoirs... tout se mêle, s'emmêle dans une parade onirique et grave... Hier, à Thônes, c'était pour la plupart de ces enfants, parfois très jeunes, la première expérience de concert en choeur mais surtout en coeur avec des chants qui ont emporté un public nombreux dans l'église St Maurice, patron des chasseurs alpins et pour ce soir de l'armée dogorienne. Tchouka et sa cavalcade, la douleur de Chänoukia, la mélancolie de Mishti, les rythmes syncopés de Djia ! ou le brillant hymne de paix dogorien Tchéka Noukia raisonneront longtemps le vaisseau de pierre de Thônes...
Tchikidan est le dernier bébé né du régional de l'étape, Etienne Perruchon, le fondu savoyard des rythmes et des sons qui propose une oeuvre qui a vocation à l'universel. Comme pour Dogora, Tchikidan se chante dans cette langue imaginaire et fédératrice dont les enfants s'emparent avec une facilité déconcertante. Dans la légende Dogorienne, les enfants ont perdu ou oublié leur langue originelle, il ne se souviennent plus que des sonorités des chansons apprises autrefois et transmises par leurs aînés. Et ces chants, c'est la vie, avec ses joies, ses tristesses, ses désespoirs... tout se mêle, s'emmêle dans une parade onirique et grave... Hier, à Thônes, c'était pour la plupart de ces enfants, parfois très jeunes, la première expérience de concert en choeur mais surtout en coeur avec des chants qui ont emporté un public nombreux dans l'église St Maurice, patron des chasseurs alpins et pour ce soir de l'armée dogorienne. Tchouka et sa cavalcade, la douleur de Chänoukia, la mélancolie de Mishti, les rythmes syncopés de Djia ! ou le brillant hymne de paix dogorien Tchéka Noukia raisonneront longtemps le vaisseau de pierre de Thônes...
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